T'es tu déjà retrouvé avec le morale dans les basket alors même que tu tentais desespérement d'avoir le sourire aux lèvres ?
C'est un peu la phase par laquelle je passe en ce moment.
Un gros coup de mou, un gros coup de cafard, et voici revenues toutes les craintes adolescentes des mauvais jours.
Si tu as eu l'occasion de lire mes premiers articles, tu as peut-être compris que l'un de mes gros soucis, c'est ma timidité. Enfin, timidité est un grand grand mot. Je ne veux pas dire que je suis timide, car aborder quelqu'un dans la rue ne me fait absolument pas peur. Cependant, l'idée même d'être obligée de mener une conversation avec n'importe qui, allant d'un professeur, de la mère d'un ami, ou d'une amie sincère, me donne la trouille. J'ai tout simplement peur de n'avoir rien à dire au point d'immaculer des gros blancs à la conversation. Je me mets alors à begayer pour dire une phrase toute bête, et me sens encore plus ridicule. Cette peur me paralyse, et quand j'essaie de "sortir de moi-même" (j'aime emprunter cette expression pour désigner le moment où j'essaie d'aller contre ma nature, de m'avancer vers les autres et de m'ouvrir à eux) je retombe encore plus bas, car forcément il y a quelque chose qui cloche: soit je suis trop enthousiaste ce qui ne correspond pas vraiment avec la situation, soit je suis aphatique ce qui est vraiment désagréable pour les autres. En bref, je suis totalement inconstante, et sans doute que les autres n'arrivent pas à me cerner. Et pire que tout, cela me demande un effort tellement sur-humain que cela me fatigue.
C'est un peu là que je suis: je suis tellement las d'essayer sans résultat probant d'aller au devant de ma nature réelle, que je n'arrive même plus à me forcer d' aller vers les autres. D'où le remue ménage dans ma tête et le besoin de repos, de solitude.
Cependant, marlgré tout ce que je peux dire ici, j'ai une certitude: Je suis comme cela parce que Dieu m'a voulu ainsi. Il n'a pas cherché à ce que je sois parfaite, mais je le suis dans son plan car c'est pour une tâche précise qu'il m'a créée moi, tous mes défauts et mes handicaps.
En ce moment, je suis en train de lire un livre: Une vie au delà de toutes limites. Le gars qui a écrit le livre est né sans bras ni jambes, et pourtant, grâce à sa foi en Dieu, il peut mener une vie quasiment autonome, avec un métier qui le passionne plus que tout: il est conférencier dans le monde pour encourager les jeunes dans leur foi. Il a trouvé ce qu'il aimait faire, et ce pour quoi il était fait, le plan que Dieu avait prévu pour lui alors même qu'il n'avait ni bras ni jambes.
Cependant, il a vécu des moments de doutes, Il a prié un nombre incalculable de fois pour se réveiller avec des jambes ! Cela n'est jamais arrivé. Dieu en avait décidé ainsi.
C'est pourquoi je me dis que Dieu m'a très certainement créée ainsi pour une bonne raison. Comme le gars dans mon livre, même si cela parait ridicule face à la souffrance qu'il a dû endurer, mon handicap a sans doute sa place dans le plan divin parfait.
J'espère toujours en être délivré un jour, mais j'ai juste envie de remercier Dieu pour m'avoir créée toute entière, et pour m'aimer et m'utiliser ainsi.
Jour après jour je veux lui demander de m'aider à m'accepter. Si lui m'a créée ainsi non par erreurs mais parce qu'il l'a voulu et que c'est ainsi qu'il m'aime, je n'ai pas à regner qui je suis, ni à essayer constament d'être quelqu'un d'autre. Clairement, j'aimerais avoir des facilités à me faire des amies, mais c'est difficile pour moi. Alors tout ce que je peux demander à Dieu, c'est de m'aider à m'accepter, et à aller au devant de cela.
Peut-être que je ne deviendrai jamais exravertie, comme le cher auteur de mon livre, il n'a jamais pu mettre ses pieds dans des chaussures. Cependant, Seigneur, aide moi à tirer le meilleur de cette angoisse, de cete "timidité", et d'utiliser cette faiblesse pour toi. Car de nos faiblesses, tu en fais des forces.
Néanmoins, les choses positives de ce côté désagréable de ma personne est ma dépendance à Dieu. Si je n'avais pas ce problème, je n'aurais pas la crainte continuelle inscrite en moi, et j'omettrais de remettre quotidiennement mes relations à Dieu, alors que lui seul peut les bénir.
Je vous souhaite une bonne fin de week end, et surtout, n'oubliez pas que peut-importe vos soucis et handicap, vous êtes comme cela parce que Dieu vous a voulu ainsi. Demandez lui de l'aide pour vous accepter et vous aimer malgré tout. En tout cas, moi je vous aime.
--Aline
Dieu est grand.
Dieu est bon.
Dieu a créé les merveilles de l'univers.
Dieu nous a créé.
Dieu est juste.
Il incarne la perfection.
Dieu peut inspirer la frayeur.
Ses voies ne sont peut-être pas les notres.
Mais Surtout, Dieu nous aime.
Voilà une réalité incroyable qui continue de me toucher jours après jours.
Quand je vois un couché de soleil, quand je regarde un paysage montagneux, quand je me penche ne serais-ce qu'un tout petit peu sur le métabolisme humain, une seule chose s'impose à mon esprit. Tout ceci est beau, magnifique, grandiose et complexe. C'est la création de quelqu'un de vraiment doué, intelligent, et d'un sens artistique inégalable.
Dans la vie de tous les jours, si on se trouve face à ce genre de personnes, l'admiration nous habite. Mais pas seulement, un sentiment d'inaxessibilité aussi. On peut facilement être les groupies d'un boys band original sans que les membres du groupe viennent nous dire bonjour. On peut facilement trouver l'adresse de notre basketteur préféré, lui écrire une lettre. Mais la plupart du temps, nous ne recevrons aucune réponse.
Et plus la notoriété de la personne est importante, moins nous n'avons de chance que cette personne s'approche de nous.
Pourtant, avec Dieu, c'est exactement l'inverse.
Il est encore plus important que Leonard de Vinci ! C'est un meilleur musicien que votre groupe préféré, et son talent d'acteur n'est même pas comparable aux acteurs nominés aux oscars ! Il a réussi à se faire homme, sans que la plupart des gens ne le reconnaissent ! voyez comme il est doué ! Même, il est au delà de tout ces talents "humains", c'est lui qui les a créés.
Lorsqu'on prend conscience de cela, on devrait se tenir en groupie ! On devrait hurler fort lorsqu'on voit sa présence (dans un couché de soleil, le long d'un paysage ou encore dans votre chambre à couchée.) Pourtant, on évite de se mettre dans ce genre de situation.
(Et évidemment, je parle aussi de moi.)
Qui d'entre nous s'il connaissait Léonardo Di Caprio ne le raconterait pas à tous ses amis? Bien pire, il nous aurait suffit de l'appercevoir de loin pour nous en vanter sur tous les toits.
Et pourtant, si nous connaissons Dieu, nous n'osons même pas le crier depuis l'interieur de nos maisons.
Bref, très bien. Tout le monde ne connait pas Dieu, de la même façon que tout le monde ne connait pas Leonardo Di Caprio. J'en suis tout à fait consciente.
Mais comme tout le monde, à moins d'habiter dans la jungle, nous savons qui C'est. Nous avons certainement tous entendu parler de Leonardo Di Caprio, comme nous avons sans doute tous entendu parler de la présence d'un Dieu quelque part.
Jusque là, il n'y a pas de différence. Ce sont sans des célébrités.
Cependant je vois là deux différences:
Personne ne refuse de croire à la présence de Leonardo sur la terre. (Les photos, les films, les magazines people...)
Pourtant, il y en a qui refuse de croire à Dieu. D'accords, Les sources montrant la présence de Dieu ne manquent pas, mais elles ne sont pas aussi évidentes. (Un couché de soleil, un chrétien qui agit toujours d'une manière souriante et sympathique, la bible...)
La première différence réside donc ici.
La seconde que j'apperçois et celle-ci:
Jamais, au grand jamais Leonardo ne viendra frapper à ta porte pour te demander comment tu vas et te dire qu'il t'aime. Il ne sait pas que tu existes, il ne le saura jamais sans doute.
Pourtant, alors que Dieu est quelqu'un de bien plus doué, de bien plus sollicité (mine de rien, je pense qu'un certain nombre de prières monte au ciel chaque jour !) il vient te dire bonjour, il frappe à ta porte, il prend soin de toi. Et plus que tout, il te connait, jusqu'au nombre de cheveux qui poussent sur ton crâne.
N'est-ce pas merveilleux ? Celui qui a créé l'univers, qui a fait poussé les arbres, qui a placé l'homme sur terre, qui a décidé de l'emplacement des étoiles, il nous connait, il s'intéresse à nous et il nous aime !
N'est-ce pas grandiose ?
Alors oui, tu as peut-être décidé de fermer ta porte à clé (les voleurs, tu comprends), mais sache que si tu laisses entrer cette star dans ton coeur, il va venir s'y loger. Et bien plus que te signer un autographe, il va prendre soin de toi, il va te tenir compagnie, il va te permettre de compter sur lui pour le moindre de tes soucis. Il va s'atrister lorsque tu seras triste, il se réjouira avec toi dans les bonnes circonstances! Il t'accompagnera et sera avec toi tout les jours de ta vie. De quoi te comporter en groupie non ?
Voilà ce que je voulais te partager aujourd'hui. Dans les articles qui suivrons, j'essayerai de mettre en lumière comment il agit dans ma vie ! Afin de te montrer que oui, il est toujours à nos petits soins, mais en plus, il sait exactement ce qui est bon pour nous, ce qui est mieux, et ne nous laisse pas seul. Concrètement.
Bye, amour,
--Aline
L'expression suivante: l'herbe est toujours plus verte chez les autres ne m'inspirait pas vraiment.
Bon, d'accord, des fois il y avait quelques jalousies deci-delà, par moments j'aurais préféré être ma grande soeur, d'autres la fille du coin de la rue...Pourtant, j'avais le sentiment que si j'arrivais à atteindre mon but, ce serait le graal absolue. Le paradis.
Si je perdais dix kilos, je serais bien mieux dans ma peau. Si j'avais l'humour de cette fille là bas, j'aurais pleins d'amis et la vie serait trop cool. Si j'avais grandit aux états-unis, j'aurais la classe absolue.Si je vivais en australie, je rencontrerais des gens super avec qui le contact passerait super bien.
J'étais persuadée qu'obtenir ce que je voulais permettrait vraiment de rencontrer le bonheur. (De lui serrer la main, lui dire bonjour, etc...)
Pourtant, hier, en discutant avec un ami, j'ai vraiment pris conscience que ce n'était que du pipo. (Pipeau ?)
Pour la petite histoire pratique, j'étais assise sur l'herbe au soleil, et je me plaignais de la fac. Oui, tu as bien compris. Je me plaignais de la fac et regrettais amèrement le lycée. Pourtant, dès l'instant où je me revoyais dans les couloirs austères du batiment gris dans ma petite ville campagnarde, je me rappelais espérer le temps où je quitterai ces mûrs, persuadée qu'une fois à l'université, la vie commencerait enfin.
Je suis vraiment tombée de haut, car j'avais fondée pleins d'espoir et à présent, je désirais retourner là d'où je venais.
En racontant ces faits à mon ami, celui-ci m'a alors rappelé la chanson d'orelsan avec les paroles suivantes: Au fond, je crois que la terre est ronde, pour une seule bonne raison. Parce qu'après avoir fait le tour du monde, tout ce qu'on veut c'est être à la maison.
Il m'a alors dit que le mieux, c'était d'apprendre le contentement.
Alors voilà, le message que je désire faire passer aujourd'hui est celui-ci: le bonheur est sous votre nez, il suffit de savoir regarder dans la bonne direction.
Le bonheur ne se cherche pas, la course en serait interminable. A chaque fois que l'on aurait franchis une étape, il nous paraitrait être allé de l'avant, ou retourné de l'autre côté de la grille.
Je ne dis pas, il est clair qu'il y a des situations à fuire. Des situations qui vous empoisonnent la vie. Je ne voudrais pas remettre en question le départ d'une femme battue ou un déménagement après un incendit. Je comprends qu'on ait pas envie d'habiter dans les cendres, je ne le ferais pas non plus.
Seulement, je parle aux gens qui comme moi, pense que la vie serait meilleur autre part, alors qu'ici nous avons tout.
Je passe le plus clair de mon temps à m'imaginer m'évader, partir dans une autre ville, faire de nouvelles rencontres. Je m'imagine que je m'y sentirais mieux.
Pourtant, objectivement, j'ai ma famille autour de moi, et même si je n'ai pas tant d'amis que cela, j'en ai des vraiment précieux. (Quand je parle de partir, je pense à partir avec mon amoureux tout de même.)
Alors je sais que si je parts maintenant, j'aurais toujours ce vide en moi. Parce que l'herbe est plus verte chez les autres, alors que le bonheur est en face de moi.
--Aline
Je n'y avais jamais vraiment réfléchis.
J'avais tendance à me dire que tout ce que je pensais était vrai, que j'avais un regard objectif sur le monde, que mon jugement était bon, et que toutes mes pensées vennaient de moi. Qu'elles refletaient au fond, l'être que je suis.
Seulement du coup, lorsque surgissaient des pensées telles que: "regarde, regarde bien, objectivement, tu n'as RIEN pour toi" et bien, je les croyais.
S'en suivait alors des crises de larmes, des "pourquoi seigneur, pourquoi ne m'as tu pas donné le don de cette jeune fille que j'admire tant ? Pouquoi ne suis-je pas un peu plus comme-ci, un peu plus comme ça? Rergarde, j'ai tout gâché.
Il ne m'était jamais venu à l'idée que ces pensées pouvaient être fausses. D'accord, j'avais conscience d'avoir de la valeur pour Dieu, je savais qu'il m'aimait (il m'aime toujours d'ailleur, c'est pour le style l'utilisation du passé, héhé). Cependant, cela n'empêchait pas que régulièrement, j'étais au plus mal. Soit par des: je suis nule, ou des: je n'ai pas d'amis, ou bien d'autres pensées que je n'étalerai pas forcément ici.
J'essayais alors d'analyser objectivement la situation. Objectivement est un bien grand mot, je pense plus sincèrement que j'observais la situation avec des lunettes dont le verre avait été nettoyé du mieux possible. Seulement tout ceux qui portent des lunettes savent très bien qu'il restera toujours une trace, une poussière ou que sais-je.
Mais voilà que je suis tombée (oui, la tête la première, le nez dans le sable !) sur un passage dans un livre. Ce passage disait que nous devrions faire le tri de nos pensées, pour ne laisser entrer dans notre petite tête que celles avec lesquelles Jésus était d'accord. Ainsi, pour un "je n'ai pas de valeur", il n'y a pas d'accès, puisque la bible dit clairement que nous avons de la valeur aux yeux de Dieu! En résumé, combattre nos pensées se révèlerait être une bonne chose, car un nombre certains d'entre elles ne sont que mensonges.
Je vous avoue que cela m'a vraiment touché. Et je me suis dit: il est vrai que ces pensées ne devraient pas être ! A chaque moment de la journée, Dieu/ Jésus prouve son amour envers moi, envers nous! Il permet que le soleil se lève, il nous donne la nature fraîche et d'une beauté infinie, il permet des discutions, des relations, des moments de détente, etc...Et moi, dans mon tout petit être égoiste voltige sans arrêt des pensées tout à fait contraire à sa parole, destructrices pour moi, mais somme toutes, absolument égoistes! Car ces pensées accaparent mon esprit et ne me fait pensé qu'à moi. Je ne regarde plus à Christ pour lui dire merci de m' avoir placé sur cette terre ! Non, je le regarde pour lui: Tu m'as râté, c'est ton rôle de réctifier la donne. Certes, un peu moins cru, mais tout de même.
Alors voilà, aujourd'hui j'ai envie de prendre deux décisions ! Tout d'abords, celle que propose le livre: mettre un gardien devant la porte de mon coeur, un filte afin de ne laisser entrer que les pensées en accord avec ce que dit la bible. Mais aussi, de regarder vers Dieu au lieu de regarder vers moi. De le louer pour sa grandeur plutôt que de me plaindre de ma petitesse. (De corps comme d'esprit.)
Bien sûre, de mes propres forces je n'y arriverai pas, mais avec l'aide de Dieu, tout est possible. Tout ceci afin de retrouver un nouveau mode de pensée, beaucoup plus sain, et qui donne la place qu'il merite à notre sauveur.
--Aline
Vivre au jour le jour. Voila un concept qui semble bateau tellement on en a entendu parler. Et pourtant, je pense que c'est une des suites logique dans l'acceptation de soi.
En effet, chaque jour peut ramener son comptant de victoire. certes, les défaites vont avec, mais le but, ce n'est pas de se laisser submerger par les défaites, mais de compter ses victoires ! un grand sportif est jugé sur les challenge qu'il a gagné, et non pas sur les épreuves dans lesquelles il ne s'est pas fait remarqué.
Alors voila le plan : si chaque jour peut ramener des victoires, prends en conscience ! le soir, en rentrant chez toi, rappelle toi ta journée ! reste sur les sourires sincères que t'ont adressés des connaissances aujourd'hui, sur la conversation hyper interessante que tu as eu avec un ami, sur les moments de la journée ou tu as pu profiter d'être parfaitement toi-même, même si ceux-ci se sont trouvés pendant le cours d'économie en langue étrangère !
Réjouis-toi d'avoir parfaitement compris le cours de physique, ou d'avoir été hyper interressé par l'histoire !
Alors, tu as trouvé des sujets de réjouissances ?
ce n'était pas si compliquer que cela !
Maintenant, si uniquement les mauvais moments de ta journée te viennes à l'esprit, demande toi si c'était si grâve que cela, et relativise !
Tu t'es ridiculisée devant le beau garçon que tu aimerais voir s'interresser à toi ? il l'a surement déjà oublié, ou alors il a trouvé ça mignon, ou même que si ça se trouve, il n'a rien pensé à ce sujet. Mais si au pire des cas, il l'a déjà répété à tous ses potes c'est que ce mec n'est pas fait pour toi, et qu'il ne te mérite pas! ai pitié de lui plutôt ! parce que je crois que c'est lui qui n'a rien compris à la vie. Tu as eu une mauvaise note ? Tu vas travailler deux fois plus et la prochaine sera meilleur ! Tu n'as pas su resté naturel avec tes amis, et ça te laisse un gout bizarre dans la bouche ? qu'importe, demain t'offriras une nouvelle chance, ils l'auront sans doute déjà oublié, ou même pas remarqué ! Tu t'es retrouvé face à quelqu'un, sans savoir quoi dire et tu t'es senti trop mal ? Bah, dis toi qu'on a pas besoin de parler non-stop, et que mieux vaut resté silencieux plutôt que de se forcer pour finir par dire des futilités qui n'auront servis à rien ! Tu es resté tout seul pendant la récréation, ou la cantine à midi? Et bien dis toi que demain sera le moment de prendre des initiatives pour partager le repas avec quelqu'un auquel tu n'aurais même pas forcément songé.
Mais avant tout rappelle-toi qu'on est tous égaux, qu'on a tous le même prix, la même valeur, même si d'autres, ou d'autres circonstances essaient de te faire croire le contraire !
Après avoir fait ce petit retour sur ta journée, efface de ta mémoire tout ce qui t'enfonce en te rappelant que c'est futilité, et rappelle toi des moments de joie ! note-les si tu veux, et chéri la chaleur que ces petites joies procurent à ton coeur.
Bonne soirée,
--Aline.
Commentaires
1. Betty Hime le 25-04-2014 à 04:44:58
Bonjour Aline, ce que tu dis dans cet article me rappel un chapitre que je viens de lire dans combattre l'incrédulité de John Piper, lui parle de son angoisse a parler en public et comment avec l'aide de Dieu il a pu la surmonté! Et comme toi il dit que ces moments difficiles lui ont permis de passer beaucoup de temps dans la présence de Dieu et il voir aujourd'hui a quel point ses epreuves ont été utiles pour là où il en est aujourd'hui!
Je t'encourage a le lire si tu peux
Que Dieu te bénisse et te fortifie! Ne perds pas courage
2. De l'Eternel, Serviteur Indigne et Rêveur le 26-04-2014 à 06:29:21
La profondeur d'âme ne rime pas avec superficialité, et si chacun possède une âme, peu sont à même de faire face à cette profondeur.
Mais sois sûre que tous sentent ta profondeur... cette richesse incommensurable qui leur échappe, qui attire et effraie à la fois. Comme le chante Céline Dion : "je sais tellement ça..." Cela entraîne une solitude évidemment pas toujours simple à vivre, une solitude digne du Seigneur Lui-même, qui dût faire face seul à ce que tous fuyaient. Avec le temps, ta vie affective et émotionnelle étant plus posée, notre seigneur te montrera comment mieux "gérer" ce don de profondeur si nécessaire au sein d'un monde qui git dans la vanité. Bien à toi, Jacques.